Rapport : L’impact du tourisme sur les communautés d’Afrique de l’Est : intégration des protocoles bioculturels dans la politique du tourisme et de la biodiversité
L’impact du tourisme sur les communautés : Intégration des protocoles bioculturels dans les politiques relatives au tourisme et à la biodiversité.
Une stratégie de plaidoyer pour la communauté indigène Maasai en Afrique de l’Est
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Le tourisme peut avoir des effets profondément négatifs sur les communautés autochtones et les écosystèmes. En Afrique de l’Est, les Maasai du Kenya et de Tanzanie ont fait l’expérience directe des conséquences négatives du développement du tourisme sur leurs terres ancestrales. Ils ont été systématiquement déplacés, leur patrimoine culturel a été transformé en marchandise et leur rôle de gardiens de la biodiversité a été largement sous-estimé.
Cette étude explore la relation complexe entre le tourisme, la biodiversité et les droits des populations autochtones, en utilisant le cas de la communauté masaï pour mettre en lumière les problèmes plus généraux auxquels sont confrontés les populations autochtones et les communautés locales dans le monde entier. Il examine comment l’afflux du tourisme de masse – souvent sous le couvert de l’écotourisme et de la conservation – a conduit à l’érosion des droits fonciers, des connaissances traditionnelles et de l’identité culturelle.
Il propose également que l’utilisation de protocoles communautaires bioculturels contribue à combler le fossé entre les coutumes autochtones et les systèmes juridiques formels, en veillant à ce que les droits et les systèmes de connaissances des peuples autochtones et des communautés locales soient respectés et sauvegardés dans les relations avec les acteurs extérieurs.
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Crédit photo : John Musgrove